Je voulais vous raconter l’histoire de ma reconversion dans ma boite. Et voilà que Dominique me met dans les mains « Linchpin« , de Seth Godin. C’est un superbe livre, passionnant, riche, foisonnant, dérangeant parfois. Au final, il a changé ma manière de penser mon travail, même si cela n’a fait que me permettre de mettre des mots sur ce que je ressentais. Je repousse donc un peu le premier billet de la série, et vous conseille ce livre admirable. De quoi parle ce livre ? De la manière dont on peut se rendre indispensable au travail, s’épanouir, enrichir les autres, créer des connexions. C’est ce que Seth appelle faire son travail comme un art. L’art, c’est ce qui touche les autres et les fait changer. En donnant aux autres, en écrivant le plan plutôt qu’en suivant celui donné par les chefs. Un Linchpin, c’est un pivot, c’est celui qui créé du lien. C’est celui qui change les autres par son art (sa manière pleine de faire son travail). C’est chacun de nous : voilà le propos de Seth Godin. Chacun peut devenir un « linchpin », et il suffit pour cela de vaincre la résistance, le cerveau reptilien (le « lézard »), qui veut tout sauf se retrouver dans l’inconfort, dans le risque, dans l’inattendu. Je ne saurais trop conseiller ce livre à tous ceux qui veulent marier travail et passion. Cela ne dépend pas du travail, mais de nous. Il y a des « linchpin » parmi les garçons de café, parmi les ingénieurs, parmi les artistes, parmi les dirigeants. Partout. Pourquoi pas vous ?
Etes-vous indispensable ?
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Commentaires
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[…] Unger Vagabondages internes Skip to content HomeRSS « © 2010 […]
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[…] développés par Sir Ken Robinson rejoignent beaucoup ceux abordés par Seth Godin dans son livre Linchpin. En gros, le système éducatif, et beaucoup d’entreprises, fonctionnement encore de la […]
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Cela nous fait très plaisir que vous appréciez ce livre.
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[…] Godin, dans Linchpin, la repose en plus tranchée : quel est ton super pouvoir ? Si vous deviez aller à […]
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[…] Cela rejoint les réflexions de Seth Godin, dans son livre Linchpin. […]
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Je découvre ce commentaire seulement aujourd’hui ; désolé pour le délai…Qui est ce « nous » qui parle en tant que Dominique Gibert ?
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