Un bon politicien est celui qui est capable de prédire l’avenir et qui, par la suite, est également capable d’expliquer pourquoi les choses ne se sont pas passées comme il l’avait prédit.
Winston Churchill (1874-1975)
homme d’Etat britannique.
Un bon politicien est celui qui est capable de prédire l’avenir et qui, par la suite, est également capable d’expliquer pourquoi les choses ne se sont pas passées comme il l’avait prédit.
Winston Churchill (1874-1975)
homme d’Etat britannique.
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Je connaissais une autre traduction :
« Le plus dur dans le métier de politicien, c’est de prédire ce qui va se passer dans les jours, les mois, les années à venir, et d’expliquer ensuite pourquoi tout cela n’est pas arrivé »
Il faudrait avoir la citation originale en angliche.
De toute façon, c’était un sacré rigolo le Churchill.
Ma citation de lui préférée :
« Le problème avec le capitalisme, c’est les inégalités. Avec le socialisme au moins, tout le monde est pauvre. »
Amusant comme citation.
Faudrait la transmettre à notre Président, qui fait exactement le contraire….Je parle bien sà»r de la première citation.
jf.
salut Champ Libre,
merci pour ton commentaire ! et pour ce point de vue sur les traductions…effectivement, il faudrait la phrase originale en Anglais. C’est marrant, ta préférée m’a servie comme citation du dimanche #21, et elle était – à nouveau tournée différement :
Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère.
à bientà´t !
Salut Jacques,
merci pour ton commentaire, tu veux dire que notre président fait exactement cela ?
à bientà´t
Eh oui Jacques !
Vous avez aussi : « il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre », et donc par extension : « il n’y a pas pire borné que celui qui ne veut pas comprendre ».
Celle qui fait le contraire de ce que l’intérêt du pays commande, c’est la gauche avec sa sempiternelle posture d’opposante systématique à tout changement, même de la part de ceux qui, officieusement, reconnaissent qu’il n’y a pas d’autres choix que ceux du programme de Sarkozy.
Que la conjoncture internationale depuis un an ne facilite pas leur mise en oeuvre est l’évidence…tous les économistes et observateurs financiers le reconnaissent. Mais il faut suivre le cap, en l’adaptant aux circonstances si nécessaires.
Il sera temps, dans quatre ans, de faire le bilan entre les promesses et les réalisations qui auront pà» être faites.
salut Anne,
merci pour cette intervention avec laquelle je suis parfaitement en accord. Arrêtons les dogmatismes stupides : Manuel Valls a dit ce week-end qu’il était ok avec le fait de passer à 41 de cotisations pour les retraites…on attend toujours de recevoir ce message de la part du PS. L’opposition systématique est stérile.
à bientà´t !
Ah Lomig : ce pauvre Manuel Valls, qui croit vraiment au renouveau et parle de changer le nom du parti socialiste et….de l’obligation d’introduire maintenant le mot « libéral » dans le vocabulaire socialo français !
Il va faire sa motion, comme J.M.Bockel, atteindre péniblement le 1% de vote d’adhésion des militants, comme Bockel…et finir à l’UMP, en ayant résisté un peu plus longtemps aux propositions de Sarko ???? :-)
Laissons-lui encore quelques illusions…désespérant !
Etait appréciable cette époque o๠les hommes politiques avaient des lettres. Churchill, prix Nobel de littérature, tout de même! Et de Gaulle!
Quoique, aujourd’hui, il reste des hommes politiques capables d’écrire: Bayrou, Villepin…
La phrase de Churcill me rappelle celle de Cocteau: « Puisque ces mystères nous dépassent, feignons d’en être l’organisateur ».
Prédire l’avenir, ça semble difficile pour l’actuel président français: trop prisonnier d’une idéologie (et d’un caractère).
Eh oui, il y a un an, on nous disait: « Il sera toujours temsp de faire le bilan dans CINQ ANS ».
Maintenant on nous repéte: « Il sera toujours tant de faire le bilan dans QUATRE ANS ».
Permettez-moi de doucement rigoler….
jf.
Salut Eric,
merci pour ton commentaire. Je ne suis pas certain que les hommes politiques (tous bords confondus) soient des illettrés pour autant. Prédire l’avenir est par définition impossible. Je ne pense pas non plus, d’ailleurs, que Sarkozy essaye de prédire l’avenir.
De quelle idéologie le crois-tu prisonnier ? ça m’intéresse beaucoup d’avoir ta réponse, car j’ai exprimé il y a peu mon souci de le voir justement naviguer à vue, sans souci de cohérence idéologique. Si tu as pu déceler dans ses positions une idéologie, je suis tout à fait partant pour la connaitre !
au plaisir de te lire !
Non Jacques, il y a un an ON nous répétait encore la propagande martelée pendant l’année de la campagne : finies les libertés, nous avons élu un dictateur fou, un Sarkoléon (ou Naboléon pour les moins sympas…), un qui rêve d’eugénisme, un nazillon etc etc.
Un an après, on voit en effet.
Espérons que vos prédictions d’échec actuelles (je n’irais pas jusqu’à parler de « vos espoirs d’échec », par bonté d’à¢me), seront une fois de plus, battues en brêche.
Nous avons déjà perdu assez de temps, entre le rejet de Juppé et la haute trahison de Jospin, faisant le contraire de ce qu’il fallait faire et que réalisaient tous nos voisins et autres pays occidentaux, bénéficiant pendant quatre années d’une conjoncture économique mondiale exceptionnelle.
En attendant, je vous permets de rigoler doucement, naturellement.
Je suis vraiement très touché de l’autorisation qu’Anne me concède….
jf.
Ce qui est bien avec vous et vos semblables, Jacques, c’est cette propension à toujours débattre sur le fond. Ou au fond…
Vos argumentaires sont si constructifs, pointus, fouillés et « sourcés » que les bras nous en tombent ; et çà , c’est dommage !
Cordialement et bonne journée.
Chère Anne,
Je n’ai repris que la seule conclusion de votre dernier billet car le reste ne me concernait pas !
Sur mon propre Bloc-Notes (ni ailleurs non plus…) je n’ai JAMAIS parlé de « dictateur fou », de « Sarkoléon », de « Naboléon », de « nazillon » etc….
Alors, si vous voulez des dicussions « au fond », n’utilisez pas ce genre de rhétorique….
On ne s’en trouvera que mieux !
jf.
J’attends toujours ta réponse, Eric. Mais peut-être n’as -tu pas le temps de venir participer à cette discussion que tu as lancée ? ;)
salut,
visiblement, Eric est trop occupé à discuter avec les journalistes influents qui viennent commenter sur son blog pour répondre à ma question… dommage ;)
Peut-être que l’idéologie chez Nicolas Sarkozy est difficile à démontrer ? Personnellement je la cherche. En dehors d’un pragmatisme salutaire, mà¢tiné, hélas, de réflexes étatiques ou de prudences regrettables mais tellement français, je ne trouve pas.
Bon, pour ce que j’en dis ;-)
Merci pour tes conseils de lecture, Lomig : pour l’instant je me suis arrêtée à celles du 7 mai, et j’ai beaucoup apprécié la pertinence de « Rigueur, quelle rigueur ? » et « Services publics et secteur public », pour ne parler que de politique franco-française…
salut Anne,
oui, je suis d’accord avec toi : c’est bien parce que je trouve que Sarkozy n’a que peu d’idéologie (parfois j’aimerais qu’il en ait plus), que j’avais posé cette question à Eric….Dans quelle idéologie Sarkozy pourrait-il bien être enfermé ???
à bientà´t !
Pour les conseils de lectures, je suis content que ça te plaise. ça me permet aussi d’envoyer les lecteurs vers des articles qui me paraissent intéressants et traiter de thèmes qui me tiennent à coeur, mais que je n’ai pas forcément le temps de traiter moi-même, ou simplement que je trouve bien traités ailleurs.
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